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La confusion est habituelle et pourtant le quotidien d’un·e travailleur·se autonome et d’un·e entrepreneur·e est très différent. Le style de vie et la vision aussi.

Dans cet article, je te présente ma définition pour chacun. Celles-ci sont le fruit de plusieurs années comme travailleuse autonome et d’observation d’autres solopreneur·e·s.

Bonne lecture !

Quelle est la différence entre travailleur·se autonome et entrepreneur·e ?

Dans cet article, ce sont des définitions très générales. C’est pour te donner une idée globale, cependant elles peuvent ne pas te correspondre. Tu es unique, ta façon d’entreprendre aussi. Il est ici question du quotidien et de la vision que l’on a lorsqu’on se lance dans l’une ou l’autre des aventures.

Il y a évidemment des différences fiscales en fonction du statut choisi, mais ce n’est pas ce qui m’importe ici. J’ai pu observer une grande différence dans la vision entre les travailleur·se·s autonomes et les entrepreneur·e·s qu’iels ont de leur travail :

  • L’entrepreneur·e veut grossir, souhaite avoir des employé·e·s et gérer une entreprise. Iel veut offrir un environnement à ses salarié·e·s qu’iel lui corresponde. C’est avec la volonté de créer une structure plus grande que sa personne qu’iel a monté sa compagnie.
  • La ou le travailleur·se autonome, au contraire, veut continuer de travailler dans son domaine à travers des contrats avec ses client·e·s. C’est de le faire pour quelqu’un d’autre qu’iel veut éviter. La liberté est un élément primordial pour la ou le solopreneur·e. C’est pour cette raison qu’iel ne souhaite pas gérer une entreprise et des employé·e·s.

Ci-dessous trois témoignages de travailleur·se·s autonomes qui représentent bien cet état d’esprit. Tu peux les retrouver, ainsi qu’une dizaine d’autres, dans la première édition de la RDA – Revue des Autonomes dont le sujet était le partage d’expérience.

Réalité de la ou du travailleur·se autonome

La vérité c’est que tu es travailleur·se autonome, tu fais tout (ou presque) dans ton entreprise. Tu travailles seul, tu ne peux donc pas déléguer (ou très peu, comme tes impôts par exemple). Je peux t’assurer que tu n’as pas le temps de t’ennuyer quand tu es solopreneur·e.

Les tâches d’un·e solopreneur·e

Tu peux déléguer une partie, mais tu auras de toute façon à t’impliquer plus ou moins dans toutes les sphères de ton entreprise (organisé par ordre alphabétique) :

  • Administration : assurances, comptabilité, déclarations TPS/TVQ, etc.
  • Création : réaliser le contrat pour lequel tu es payé·e.
  • Développement d’affaires : réseautage, rencontres, prospection, etc.
  • Marketing et communication : toute ton image externe (site Internet, blogue, réseaux sociaux, etc.).
  • Relation client : être en perpétuelle relation avec elle ou lui (soumission, contrat, facturation et toute autre question).

PTI : la facturation des taxes est obligatoire, si au cours des 12 derniers mois, tu as gagné plus de 30 000 $. Prends-toi d’avance, si tu vois que tu vas dépasser ce montant, inscris-toi à la TPS/TVQ. Car sinon, tu risques de devoir facturer tes client·e·s du mois passé.

Quotidien d’un·e travailleur·se autonome

Ton quotidien de travailleur·se autonome est rempli de surprises, de demandes « urgentes », de choses personnelles. Il est donc important d’avoir une bonne gestion de ton horaire afin de compléter tes contrats en temps et en heure. C’est ta réputation qui va en dépendre et donc d’éventuelles recommandations futures.

Il est vrai qu’il est plaisant de pouvoir arranger son horaire en fonction de sa réalité et de ses obligations personnelles ou familiales. C’est aussi, et surtout, pour ça qu’on choisit de devenir travailleur·se autonome. Tu dois simplement être conscient·e que ça veut aussi dire que parfois tu finiras tard, car c’est à toi qu’incombe la responsabilité de livrer le résultat final aux client·e·s.

Deux panneaux circulation One way ville
© Nick Fewings

Réalité d’un·e entrepreneur·e

Parfois on passe d’une réalité de travailleur·se autonome pour se rendre dans le monde la gestion d’une PME (Petite et Moyenne Entreprise). Les raisons sont variées et personnelles comme tu peux le lire dans les témoignages de Cindy et Naomie ci-dessous. Elles ont répondu à la question suivante : Pour quelles raisons as-tu décidé de passer de solopreneur·e à entrepreneur·e ?

Témoignage Cindy Bégin entrepreneure designer graphique Montréal
Témoignage Naomie Marleau entrepreneure designer graphique Montréal

Les tâches d’un·e entrepreneur·e

Les tâches reliées à la gestion d’entreprise sont très portées sur les chiffres et les ressources humaines. C’est pour ça qu’il est important de bien comprendre la comptabilité. Être proche de sa ou son comptable peut être utile afin qu’iel t’explique certains termes.

Il peut également être judicieux de s’entourer d’un·e consultant·e en ressources humaines afin de prendre des conseils dès le début. Ce qui est certain, c’est que tes to-do listes seront surtout sur ces trois aspects :

  • Administration : comptabilité (cashflow, prévisions budgétaires, etc.), assurances, facturation, bureaux, etc.
  • Développement d’affaires : réseautage, prospection, soumission à des appels d’offres, etc.
  • Gestion des employé·e·s : recrutement, absence/congés, horaires, licenciement, etc.

Quotidien d’un·e entrepreneur·e

À l’instar d’un·e travailleur·se autonome, un·e entrepreneur·e va avoir les mains dans la gestion générale de l’entreprise au lieu de compléter des contrats. Certain·e·s décident de continuer de réaliser des contrats, ça dépend de toi et du mode de fonctionnement de ton entreprise. Tu t’investis à fond dans la réussite de ta compagnie alors ça veut dire faire tout ce qu’il faut pour que ça marche pour toi et pour toutes les personnes que tu emploies.

En règle générale, le quotidien d’un·e entrepreneur·e va être beaucoup au niveau du développement d’affaires afin d’apporter des contrats à ses employé·e·s. C’est aussi de s’assurer de la bonne santé de son entreprise. Ici je parle de santé financière, certes, mais aussi (et surtout) du bien-être de ses salarié·e·s. Car, sans main-d’œuvre, une entreprise est non-opérationnelle. Ce sont donc tes priorités lorsque tu es à la tête de ton entreprise.

Quel quotidien veux-tu ? As-tu une idée plus claire de ce que l’un et l’autre implique ? Dis-nous en commentaire si ça correspond à l’idée que tu t’en faisais ou si c’est ta propre réalité.

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Rien de tel qu’un retour en arrière pour voir le chemin parcouru. C’est donc l’occasion de te présenter tout ce qu’on a fait durant cette première année pour aider et soutenir les travailleur·se·s autonomes.

Nous t’avons même fait une petite vidéo d’équipe pour te souhaiter une bonne rentrée automnale.

Bonne lecture !

Une première année bien chargée

Je te confirme : l’année est passée très vite !

Nous avons travaillé fort pour t’offrir du contenu répondant à tes besoins de travailleur·se·s autonomes. C’est en nous disant ce dont tu as besoin que nous pouvons t’aider. Donc prends le temps de nous envoyer un petit message. Que ce soit à propos d’une formation, d’une simple question de gestion ou d’assurances, nous sommes là pour toi !

deux personnes faisant le bilan de leur entreprise et des résultats
© Ux Indonesia

Beaucoup de contenu pour les travailleur·se·s autonomes

Notre volonté est vraiment de soulager ton quotidien de solopreneur·e avec du contenu pertinent, détaillé et varié. Nous le faisons donc à travers différents supports comme la boîte à outils ou la revue, mais également avec notre blogue et enfin le groupe Facebook.

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(ancienne image de marque)

RDA – Revue des Autonomes, la première édition

Eh oui ! Nous avons sorti la première revue conçue par et pour les travailleur·se·s autonomes du Québec. C’est tout un accomplissement ! Nous voulions que cette première édition soit à propos des transitions que tu seras susceptible de traverser tout au long de ton parcours de travailleur·se autonome.

La boîte à outils d’ada

C’est une boîte qui regorge de liens, de documents, de trucs pour t’aider dans ton lancement ou ton développement. Tu peux en apprendre plus sur notre boîte à outils sur cette page. Tu y trouves plusieurs sections répondant à différents besoins dont :

  • Démarrage
  • Développement des affaires
  • Logiciels et applications
  • Développement personnel
  • Revenu Québec
Barbara Laclergerie travailleuse autonome réviseure rédactrice Rimouski
© Eva Blue

C’est un ‘must have’ parmi tous les outils et formations qui circulent dans le microcosme des travailleur·se·s autonomes.

Un bon investissement qui permet de se poser les bonnes questions afin de s’assurer d’aller dans la bonne direction (ou de la redéfinir en cours d’activité).

Barbara, Rédactrice/Réviseure – Rimouski

Groupe Facebook d’entraide

Nous sommes maintenant plus de 280 dans le groupe. Tu peux y partager des événements qui pourraient intéresser les membres. Tu as l’opportunité de demander de l’aide ou des références aux autres. Les échanges sont les bienvenus !

Christel Durand Farah fondatrice FIKAS Festival immersif de culture et d'art scandinave à Montréal

J’ai trouvé beaucoup de réponses à mes questions concernant l’admin, la compta, etc. dans le groupe Facebook. C’est chouette d’avoir des réponses à mes questions sans chercher pendant des heures.

Christel, Fondatrice et Directrice marketing de FIKA(S) – Montréal

Lisa Martin designer textile fondatrice allié.e sous-vêtements en coton biologique

Il y a beaucoup d’informations intéressantes dans le groupe Facebook !

Lisa, Co-fondatrice d’allié.e – Montréal

Couverture groupe Facebook entraide entre travailleurs autonomes au Québec ada académie des autonomes

Plus de 25 articles de blogue

Les articles de notre blogue sont là pour répondre à tes questions de travailleur·se·s autonomes de façon poussée. On y ajoute des vidéos, des graphiques, des documents complémentaires. Nos articles sont créés de façon à faire entièrement (ou le plus possible) le tour de la question qu’ils soulèvent.

Nous avons séparé le blogue en plusieurs catégories pour t’aider à t’y retrouver :

  • Actualité d’ada : toutes les nouvelles concernant ada (expertes, évolution de l’entreprise, nouveautés, etc.).
  • Assurances : les informations utiles concernant les assurances qui te concernent comme travailleur·se autonome.
  • Comptabilité/Finances : ce sont des articles concernant les finances et l’épargne. Un mélange de vidéos complétées avec des documents, liens et outils supplémentaires.
  • Développement d’affaires : c’est un vaste sujet, c’est pourquoi les thèmes sont variés (mentorat, plan d’affaires, réseautage, etc.).
  • Développement personnel : tu as beaucoup de questions internes comme solopreneur·e, c’est dans cette section que nous les aborderons.
  • Inspiration : lire sur d’autres travailleur·se·s autonomes est intéressant, parfois même motivant.
  • Organisation : tout pour augmenter ton efficacité dans ces articles et t’éviter de passer des heures sur Internet à la recherche de tes réponses.
  • Trucs et astuces : tu y trouves des outils pouvant t’aider dans les « autres tâches connexes » (communication, calcul du taux horaire, logiciel, etc.).

T’as de quoi lire avec tout ça. Si tu as une question qui reste en suspend, écris-nous ! Un de nos prochains articles pourrait être là-dessus. En plus, on te tiendra informé lorsqu’il sera en ligne.

L’équipe te souhaite une bonne rentrée automnale 2021 !

On a fait une petite vidéo d’équipe afin de souhaiter une bonne rentrée automnale aux travailleur·se·s autonomes de notre groupe Facebook. C’était également l’occasion de se présenter et de rappeler ce qu’on peut faire pour t’aider. Pour en apprendre plus sur les expertes de l’Académie des Autonomes, tu peux lire les articles sur chacune d’elle (par ordre d’apparition) :

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Afin d’avoir un service personnalisé, que tu sois travailleur·se autonome ou pas, il est bien important que la ou le conseiller·ère en placement comprenne ta situation. C’est comme ça que tu obtiendras des recommandations qui t’aideront à atteindre tes objectifs.

Dans cet article, Ariane te présente les points importants à aborder avec elle ou lui. À la fin, tu as même la vidéo récapitulative pour t’expliquer ce qui est détaillé dans l’article.

Bonne lecture !

Un·e conseiller·ère en placement devrait te poser 3 questions

Il est très important d’être transparent·e avec ta ou ton conseiller·ère, car c’est uniquement comme ça qu’iel pourra t’aider à atteindre tes objectifs de vie. Sois donc bien honnête dans ta conversation, tu en retireras ainsi le meilleur des conseils qu’iel pourra te donner.

Quels sont tes objectifs de vie ?

Ta ou ton conseiller·ère en placement doit savoir ce que tu comptes en faire à court, moyen et long terme pour te conseiller adéquatement. As-tu prévu de t’en servir pour ?

  • ta retraite
  • ton mariage
  • acheter une maison
  • léguer un montant précis à tes enfants

Ses recommandations vont varier en fonction de tes objectifs et il faut que ces fonds soient disponibles quand tu en auras besoin.

Poteau avec plusieurs panneaux allant dans plusieurs directions
© Javier Allegue Barros

Quelle est ta situation familiale et professionnelle ?

Si tu es travailleur·se autonome, tu vas peut-être vouloir avoir accès à un montant d’argent en cas de coup dur. La ou le conseiller·ère va donc probablement te suggérer de placer une partie de ton argent dans un compte duquel tu pourras retirer une partie de la somme sans pénalité ou à moindres frais.

Si tu as des enfants, tu vas peut-être vouloir mettre de l’argent dans un Régime d’épargne étude enregistré (REEE) pour leur permettre de faire des études supérieures.

Tu comprends donc que les recommandations vont être spécifiques à ta réalité en complémentarité à tes objectifs.

Quelles sont tes connaissances en placement ?

Si tes connaissances sont inexistantes ou basiques, alors la ou le conseiller·ère en placement va prendre le temps de t’expliquer les différents fonds et placements disponibles pour toi. Iel va aussi t’expliquer ton profil d’investisseur et ce que ça veut dire. Tu peux faire le test sur le site de l’Autorité des marchés financiers.

Faire le bilan de tes finances

Il est bien important également de faire le bilan de tes finances, tu peux trouver plus d’information et un document Excel pour t’aider à faire ton budget et ton bilan financier dans cet article de notre blogue. Dans ce bilan, tu vas énumérer tes revenus, tes dettes et tes actifs. Ta ou ton conseiller·ère a besoin d’être au courant de ta santé financière pour bien te conseiller.

Homme avec une tablette qui présente des graphiques bilan financier
© Adeolu Eletu

Quelles sont tes attentes face à ta ou ton conseiller·ère ?

À quelle fréquence souhaites-tu la ou le rencontrer pour faire un suivi ? Aux 3 mois ? Aux 6 mois ? Une fois par an ? Au minimum une rencontre annuelle te permettra de mettre à jour ton profil et de nommer les changements qui se sont passés dans ta vie :

  • changement d’emploi
  • séparation
  • naissance
  • héritage
  • etc.

À toi de voir ce qui correspond à tes besoins et d’en discuter directement avec ta ou ton conseiller·ère en placement, que tu sois travaileur·se autonome ou non.

Ariane t’explique ça en vidéo

Rien de tel que d’entendre Ariane Desharnais, conseillère en gestion de patrimoine, t’expliquer ce que ça prend pour avoir un service personnalisé d’un·e conseiller·ère en placement à travers une vidéo.

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Dis-nous en commentaire à quelle fréquence rencontres-tu ta ou ton conseiller·ère en placement. Nous avons bien hâte de te lire.

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La fin de l’année concorde aussi avec la fin d’année financière quand on est travailleur·se autonome. Nous ne parlons pas de la version incorporée dans cet article car il y a d’autres aspects et points qui s’ajoutent lors du bilan comptable (qui correspond à la date que l’on aura choisie).

C’est donc le temps de se poser les bonnes questions, de prendre du recul et de faire son bilan comptable. Plusieurs questions suggérées dans cet article pour t’aider à faire cette analyse par toi-même.

Bonne lecture !

Pourquoi faire ton bilan comptable tous les ans

Il est bon de faire ton bilan annuel de travailleur·se autonome pour prendre du recul sur ton année. Il est aussi important de faire le bilan de ta comptabilité pour analyser ton année financière. Les deux te permettront de faire des choix éclairés pour ta prochaine année comme travailleur·se autonome.

Pour le bilan financier, ce qu’il importe c’est de savoir lire et comprendre tes rapports.

Femme frustrée énervée devant son ordinateur laptop
© Jeshoots

Lexique des termes comptables

Pour t’aider dans la lecture de cet article, il est important de rappeler la signification de certains termes comptables. Ils t’aideront à bien comprendre les questions à te poser pour analyser ton année financière comme travailleur·se autonome.

  • Actifs : Tout ce que l’entreprise possède que ce soit à court (liquidités dans ton compte bancaire, stocks), moyen (placements, etc.) ou long terme (immobilisations : ordinateur, mobilier de bureau, machinerie, etc.).
  • Bilan : Photo de la situation globale de ton entreprise à une date précise. On y retrouve 3 parties : actifs, passifs et avoirs aux actionnaires. Il montre ce que l’entreprise possède (actifs) et ce qu’elle doit (passifs).
  • Chiffre d’affaires : Total des ventes de tous les produits et services de l’entreprise durant une période donnée.
  • État des résultats : Il montre le profit ou la perte (revenus moins les dépenses) réalisé·e pour une période de temps. Le bénéfice (ou la perte) s’ajoute à ton bilan année après année. Ce document te permet de faire l’analyse des performances financières de ton entreprise.
  • Passifs : Toutes les dettes de l’entreprise : prêts, comptes à payer (cartes de crédit, etc.), dettes aux actionnaires.

L’état des résultats est le rapport que tu vas consulter le plus souvent.

Questions à te poser pour faire ton bilan comptable

Quand tu fais ton bilan en regardant les documents comptables (bilan et états des résultats), tu dois te poser certaines questions afin d’analyser les chiffres de ton année :

  • Combien de revenus au total as-tu faits ?
  • Combien de dépenses au total ?
  • As-tu fait un bénéfice satisfaisant ?

Comme travailleur·se autonome, ton bénéfice est le salaire que tu auras gagné puisqu’il n’y a pas de distinction entre l’entreprise et toi. N’oublie pas que si tu débutes, il y a certainement des dépenses de biens durables que tu n’auras plus à refaire les années suivantes (ordinateur, etc.).

Comment analyser tes revenus de travailleur·se autonome

Ta vision globale étant faite, tu peux maintenant entrer un peu plus dans le détail. Tu vas analyser tes revenus en te posant ces simples questions :

  • Combien d’heures facturées versus les heures travaillées ?
  • Donc quel est véritablement mon taux horaire ?
  • Combien de revenus par type de catégories ou par stock vendu ?

Ça te permettra de décider si tu retires un service ou un produit de ton offre. Tu pourras aussi ajuster ton taux horaire de travailleur·se autonome en fonction de tes conclusions et de tes objectifs pour l’année prochaine.

Jeune femme en train de travailler devant son ordinateur laptop
© Windows

Comment analyser tes dépenses de travailleur·se autonome

Après les revenus, il est temps d’analyser tes dépenses. Tu vas faire le portrait et réfléchir à ta façon de dépenser tes revenus. Tes investissements pour ton activité sont parfois réfléchis, parfois pas. C’est le temps de prendre du recul et d’être pragmatique sur ce qui est réellement pertinent et utile pour ton entreprise.

  • Dans quelles catégories as-tu dépensé le plus ?
  • Est-ce des dépenses essentielles ?
  • Y a-t-il des catégories de dépenses qui ont augmenté de façon substantielle ? Pour quelles raisons ?
  • Est-ce possible de demander une réduction de taux (exemple : pour ton cellulaire, de certains stocks, etc.) ?

Quelques conseils d’analyse :

  • Si tu n’es pas à ta première année d’existence, fais un comparatif de 2 ou 3 années.
  • Compare les catégories de revenus versus les catégories de dépenses.
  • Et le bénéfice spécifique de chaque catégorie.

Tu pourras ainsi voir l’évolution de tes dépenses et constater si une catégorie a beaucoup augmenté. Tu te poseras donc la dernière et ultime question : Est-ce une bonne idée de continuer à vendre ce type de produit ou de service ? Du point de vue comptable, est-ce que ça en vaut la peine ?

Conseils de ton optimisatrice de ta comptabilité

JOANNE LÉPINE

Joanne Lépine Organisatrice du travail et de sa comptabilité Gestion Arto
© Olivier Arnaud

En faisant cet exercice, tu trouveras toi-même d’autres façons d’analyser tes résultats. Année après année, ton analyse se raffinera et tu sauras de mieux en mieux appréhender ce bilan.

Si ton logiciel ne te permet pas de choisir les catégories ou si de « jouer » avec les chiffres de cette façon t’horripile, demande l’aide à ta ou ton comptable. Si tu n’en as pas encore, tu peux en trouver un·e dans le bottin des CPA. Pense à sélectionner la clientèle desservie « travailleurs autonomes » car certain·e·s comptables n’offrent pas le service aux travailleur·se·s autonomes.

Ça vaut vraiment la peine de faire cet exercice. Ça t’évitera de continuer dans une direction qui te rapporte moins de bénéfice qu’une autre. Tu auras également une vision plus claire pour la prochaine année et tu sauras où investir ton temps et mettre tes énergies dans ce qui est le plus rentable.

Bon bilan !

L’article Fin d’année financière, les questions à te poser est apparu en premier sur ada, académie des autonomes.

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Tous les ans, tu te demandes si, comme travailleur·se autonome, tu peux encore mettre de l’argent dans tes placements afin de faire diminuer ta déclaration de revenus ?

Dans cet article, tu comprendras ce que sont les REER et la différence avec le CELI, mais tu sauras également jusqu’à quelle date tu peux y injecter de l’argent pour la déclaration de l’année précédente.

Que tu sois déjà travailleur·se autonome ou encore employé·e, il est important de bien comprendre les différences entre les termes qui existent, car chacun aura une répercussion différente sur ta situation financière globale et tes objectifs de vie à court, moyen et long terme. Je te laisse parler à un·e spécialiste pour savoir ce qui est le mieux pour toi. Ici, je te présente simplement différents outils pour te faire une idée par toi-même.

T’es prêt·e ? C’est parti !

Quelle est la différence entre REER, CELI, REEE et RVER ?

Les meilleures définitions que tu peux trouver sur les termes relatifs aux placements se trouvent dans le glossaire sur le site de l’AMF – Autorité des Marchés Financiers. Le gouvernement du Québec a mandaté cet organisme pour encadrer le secteur financier québécois et aider les consommateurs de produits et services financiers. C’est la loi instituée le 1er février 2004 Loi sur l’encadrement du secteur financier (anciennement Loi sur l’Autorité des marchés financiers) qui leur donne cette autorité.

Régime enregistré d’épargne-retraite (REER)

Un Régime enregistré d’épargne retraite (REER) est un compte enregistré (qui peut par exemple être un compte à la banque ou chez un courtier en ligne) qui permet de réaliser des investissements dont les bénéfices ne seront pas imposables tant que l’argent reste à l’intérieur du REER.

L’investisseur qui ajoute de l’argent à son REER peut déduire un montant équivalent de son revenu imposable (selon certaines conditions), et, en règle générale, économiser de l’impôt.

Cependant, lorsqu’il retire des sommes de son REER, il doit les ajouter à son revenu imposable.

Le REER sert principalement à accumuler de l’épargne en vue de la retraite.

Compte d’épargne libre d’impôt (CELI)

Un CELI est un « Compte d’épargne libre d’impôt ». C’est un régime d’épargne (comme le REER) qui permet aux sommes qui y sont déposées de croître à l’abri de l’impôt. Ces sommes peuvent être investies dans des actions, des obligations, des certificats de placement garanti et d’autres formes d’épargne ou de placement.

En cotisant à ce régime, vous ne recevez pas de réduction d’impôt. Toutefois, lorsque vous retirerez les sommes du régime, vous ne paierez pas d’impôt.

Le CELI vous permet d’épargner pour toutes les raisons de votre choix (achat d’une maison, d’une auto, etc.).

Régime volontaire d’épargne-retraite (RVER)

Un Régime volontaire d’épargne-retraite, ou RVER, est un régime offert par les entreprises à leurs employés.

La participation à un RVER est volontaire. Elle permet de cotiser par déduction automatique sur la paie.

Comme pour un REER, les cotisations de l’employé sont déduites du revenu imposable, et aucun impôt ne doit être payé sur les bénéfices tant que l’argent reste dans le RVER.

Source : Glossaire de l’AMF

Régime enregistré d’épargne-études (REEE)

Un Régime enregistré d’épargne-études, ou REEE, est un compte enregistré (qui peut par exemple être un compte à la banque ou chez un courtier en ligne qui permet de réaliser des investissements dont les bénéfices ne seront pas imposables tant que l’argent reste à l’intérieur du REEE.

Un REEE sert à financer en tout ou en partie les études postsecondaires du bénéficiaire. L’investisseur qui ajoute de l’argent à un REEE ne peut PAS déduire un montant équivalent de son revenu imposable.

Cependant, si certaines conditions sont respectées, un REEE donne droit à diverses subventions du gouvernement.

Homme devant son ordinateur et ses finances budgets
© Joshua Mayo

Pourquoi cotiser à un REER ?

Lorsque tu investis dans tes REER, le montant est déduit de ton revenu total et donc diminue les impôts que tu devras payer comme travailleur·se autonome ou pourrait te donner un retour d’impôt si tu es employé·e (puisque ton dû est prélevé directement sur ta paie).

Exemple :
Revenu : 50 000$
REER : 5 000$
Montant imposable : 45 000$

Les REER sont là pour qu’à ta retraite tu puisses vivre agréablement, car le montant donné par le gouvernement pourrait ne pas être suffisant pour vivre ou te permettre de réaliser tes projets. C’est également un bon plus si tu as une perte soudaine de revenus (emploi ou inactivité pendant un long moment) car tu pourrais retirer de l’argent de tes REER sans payer trop d’impôt durant une période plus difficile.

Autant te dire que comme travailleur·se autonome, il est important de penser à toutes les éventualités. De plus, ça peut être avantageux de bien regarder les opportunités qui s’ouvrent à toi au niveau des placements afin de faire fructifier ton argent.

Et si je cotise trop à mon REER, que se passe-t-il ?

Si vous dépassez votre plafond de cotisation REER de 2 000 $ ou moins, vous ne serez pas pénalisé; cependant, vous ne pouvez déduire ces cotisations excédentaires de votre revenu imposable. Vous devez savoir que les cotisations excédentaires dépassant 2 000 $ sont assujetties à une pénalité équivalant à un impôt d’un pour cent par mois.

Vos cotisations excédentaires doivent être déclarées à l’Agence du revenu du Canada (ARC) dans les 90 jours suivant le dernier jour de l’année où vous les avez versées. Si vous les déclarez après la date limite, vous pourriez être assujetti à une pénalité supplémentaire équivalant à 5 % du solde dû, plus 1 % du solde dû pour chaque mois de retard, jusqu’à concurrence de douze mois.

Source : TD – REER – Règles relatives aux cotisations et au maximum déductible

Est-ce que le REER est mieux que le CELI ?

Les deux sont souvent comparés, et pourtant, les objectifs reliés à chacun sont très différents. L’un est souvent utilisé pour des projets courts termes et l’autre pour le long terme. En gros, il est possible de les comparer ainsi :

CELI

  • le montant investi est non déductible
  • les intérêts générés sont non imposables
  • âge maximum pour y cotiser : non
  • âge minimum pour y cotiser : majorité

REER

  • le montant est déduit de tes revenus
  • les intérêts sont imposables (au moment du retrait)
  • âge maximum pour y cotiser : 71 ans
  • âge minimum pour y cotiser : non
Explication de finances REER
© Scott Graham

Conclusion : ça dépend ! Et oui, comme très souvent, c’est du cas par cas. Il est peut-être même intéressant d’avoir les deux. Un·e conseiller·ère en gestion de patrimoine saura te conseiller sur les bons choix à faire en fonction de tes projets de travailleur·se autonome et tes objectifs de vie personnels.

Source :
Banque Nationale – REER ou CELI pour votre projet ?
RBC – Placements au Canada pour les nouveaux arrivants

Quel sera mon retour d’impôt pour avoir cotisé à mes REER ?

Trop de paramètres entrent en ligne de compte pour avoir une réponse précise et personnalisée dans cet article. En revanche, tu peux voir avec cette calculatrice (bouton ci-dessous) le montant (estimé) que tu pourrais économiser en fonction de ton investissement dans tes REER et de tes revenus.

Que se passera-t-il si je retire de l’argent de mes REER ?

Tout montant retiré de tes REER s’ajoute à tes revenus annuels, c’est pour ça qu’en général cet argent n’est retiré que lorsque notre revenu a diminué (souvent à la retraite).

Exemple :
Revenu : 25 000$
Rachat de REER : 10 000$
Montant imposable : 35 000$

Exception : la vie est ainsi faite qu’il existe toujours une exception… Lorsque tu souhaites t’acheter ou te faire construire une propriété alors tu peux participer au régime d’accession à la propriété (RAP), si tu remplis tous les critères. Ce programme (RAP) du gouvernement canadien te permet de retirer des fonds de tes REER sans que le montant ne soit ajouté à tes revenus.

Point d'interrogation au fon d'un couloir
© Emily Morter

Est-ce que je peux cotiser aux REER de ma ou mon conjoint·e ?

Oui, il est tout à fait possible pour toi de cotiser aux REER de ta moitié. Cependant, il est important de te signaler que ton maximum reste le même. Il t’est impossible de déduire plus que le maximum qui est indiqué sur ton avis de cotisation. À toi de voir donc ce que tu souhaites faire.

Ça peut être intéressant surtout lorsque tu as dépassé l’âge limite de cotisation (71 ans), mais que ta moitié non. Le meilleur moyen de savoir si c’est une bonne chose à faire pour toi et ton ménage, c’est de demander à ta ou ton conseiller·ère en gestion de patrimoine.

Quelle est la date limite pour contribuer à mes REER ?

Tu as jusqu’à la fin février de chaque année pour contribuer à tes REER et que ça compte pour les impôts de l’année précédente.

Quel est le montant maximum déductible avec mes REER ?

Il est possible de déduire de tes revenus un montant maximal par année. Il est calculé en fonction de tes cotisations des années passées et de ton revenu annuel. Il va être inscrit sur ton avis de cotisation dans Mon Dossier.

  • Pour impôts payés en 2020 : 18 % du revenu gagné en 2019, jusqu’à un maximum de 27 230 $
  • Pour impôts payés en 2021 : 18 % du revenu gagné en 2020, jusqu’à un maximum de 27 830 $

Si tu mets de l’argent dans les REER de ta ou ton conjoint·e, tu peux les déduire aussi. ATTENTION : les montants mis dans tes REER et dans ceux de ta moitié s’ajoutent, mais ton maximum reste le même. Alors à toi de voir si tu souhaites y contribuer ou pas, et ensuite, si tu décides de les déduire dans ta déclaration.

Exemple :
Maximum déductible pour 2021 : 10 000$
Investissement dans tes REER : 4 000$
Investissement dans les REER de ton ou ta conjoint·e : 6 000$
Déduction choisie : 4 000$ + 5 500$ (au lieu du 6 000$ investi) = 9 500$
Report de la cotisation inutilisée : 500$

Source : Gouvernement du Canada

Avis de cotisation 2020

Trouver un·e conseiller·ère en gestion de patrimoine

Portrait cercle Ariane Desharnais conseillère en gestion de patrimoine FBNC Financière Banque Nationale du Canada
© Marie Deschene

ARIANE DESHARNAIS

Pour finir, il ne te reste qu’à te trouver une personne pour t’aider dans tes placements. Ce sont principalement les conseils et informations d’Ariane Desharnais, conseillère en gestion de patrimoine que tu retrouves dans cet article.

Elle a toujours à cœur de répondre aux objectifs de ses client·e·s et te conseille de trouver ta ou ton conseiller·ère en gestion de patrimoine.

Les REER n’ont plus de secrets pour toi maintenant ! Dis-nous en commentaire si tu as des placements, et si oui, as-tu un REER, un CELI, un RVER et/ou un REEE ?

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La quantité de documents à réunir pour ta déclaration de revenus est un cauchemar ? Tu ne sais pas par où commencer ? Cet article va te donner la liste des éléments à donner à ta ou ton comptable.

En fin d’article, tu trouveras un fichier Excel à télécharger pour t’aider à ne rien oublier.

Bonne lecture et bonne déclaration d’impôt !

Revenus

Pour commencer, tu dois indiquer tous tes gains accumulés au courant de l’année. Ce sont tous les montants gagnés que ce soit comme employé·e, travailleur·se autonome ou avec des placements.

  • Revenus d’entreprise
  • Revenus de placement (T5, T3)
  • Revenus d’emploi (T4)
  • PCU (T4A)
  • Autres (T4A)

T4A produits par tes client·e·s
Ensuite, il est important de te préciser que les T4A sont produits en cas de versement d’honoraires supérieurs à 500 $ à un·e travailleur·se autonome non incorporé·e. De plus, pour générer les feuillets T4A, les entreprises, organismes, etc. auront besoin de ton Numéro d’Assurance Social (NAS). Ne fais donc pas le saut si on te le demande.

Tirelire cochon argent revenus
© Fabian Blank

Dépenses

Bureau à domicile

En premier lieu, ton bureau. Il est courant d’avoir son bureau à la maison maintenant. Si tu loues un espace alors toutes tes dépenses reliées peuvent être déduites. En revanche, si tu travailles de chez toi, tu peux déduire uniquement la portion représentant ton utilisation. Il est facile de calculer le pourcentage des dépenses à inscrire :

(Superficie de ton bureau (partie que tu utilises) / Superficie totale de ton logement) x 100

Exemple en pi2 :
(100 / 800) x 100
12,50%

Tu pourras ainsi déduire 12,50% des dépenses annuelles pour ton bureau à domicile.

Les types de frais concernés par le taux d’utilisation de ton lieu de vie à des fins d’affaires sont les suivants :

  • Internet
  • Chauffage et électricité : Hydro-Québec et/ou Propane (Energir)
  • Assurance maison
  • Taxes : municipales et scolaires
  • Entretien
  • Logement : Intérêts hypothécaires, loyer, frais de condo

Dans le document Excel qu’on te donne généreusement (voir à la fin de l’article), tu trouveras donc la liste complète et un onglet pour calculer facilement ton taux.

Femme en train de travailler à son bureau
© Surface

Voiture et kilométrage

Ensuite, si tu te sers de ta voiture pour aller chez tes clients, tu peux déduire une partie des dépenses qui sont reliées à cette utilisation. Comment calculer le pourcentage à déduire de tes frais de déplacement avec ton véhicule ? Il te suffit de faire ce simple calcul :

(Total des km parcourus pour tes mandats / Total des km de ton véhicule pour l’année concernée) x 100

Exemple :
(3 000 / 9 000) x 100
33,33%

Ce sera donc 33,33% des dépenses annuelles qui seront déductibles.

Les frais reliés à l’utilisation d’un véhicule pour tes mandats concernent les éléments suivants :

  • Prix d’achat ou prix mensuel de location
  • Essence
  • Assurance automobile
  • Entretien (changement huile, pneus, réparations)
  • Permis et Immatriculation

Sache que tu dois absolument tenir un registre pour tes déplacements comprenant les éléments suivants :

  • Date
  • Lieu de départ
  • Lieu de destination
  • Kilomètres parcourus
  • Raison du déplacement

Deux applications pour te permettre d’enregistrer tes déplacements automatiquement :

Logo odotrack registre kilométrage
Logo Mile IQ registre kilométrage

Autres dépenses

Pour finir, tu dois indiquer les dépenses qui servent le fonctionnement de ton entreprise, qui te permettent de servir tes client·e·s. C’est donc du cas par cas pour certaines dépenses à déduire de tes revenus.

Exemple : Photographe

  • Logiciels : Photoshop ou Lightroom
  • Fonctionnement général : Quickbooks, Asana, etc.
  • Fournitures et papeterie : papier photo, imprimante, cartouches, etc.
  • Cotisations à un ordre professionnel

Les autres types de frais sont généraux et s’adresses donc à tous types de travailleur·se·s autonomes, si concerné·e·s évidemment :

  • Livraison, frais postaux
  • Frais comptables
  • Frais bancaires
  • Publicité
  • etc.

Tu as la liste complète dans le document Excel à télécharger gratuitement ci-dessous.

Relevés et autres documents officiels

devenir organisé avec bloc note et montre
© Stil

Tu dois réunir plusieurs documents pour tes impôts, voici une liste des différents relevés que tu pourrais être amené·e à fournir à ta ou ton comptable :

  • Avis de cotisation (fédéral et provincial) année précédente
  • Revenus de placement (T5, T3)
  • Revenus d’emploi (T4)
  • Prestation assurance-emploi (T4E)
  • PCU (T4A)
  • Autres revenus (ex T4A)
  • Relevé 31 (si tu es locataire)

Évidemment, tous ces documents ne te concernent peut-être pas, c’est à toi de voir ce que le gouvernement t’envoie et ce que tu sais que tu es censé·e fournir. Dans le doute, demande à la personne en charge de faire ta déclaration d’impôt.

Aide mémoire – impôts

Pour conclure cet article, nous t’avons préparé un fichier Excel, en partant d’un document de Brigitte L’Écuyer, CPA et les informations complémentaires de Joanne Lépine. Il devrait donc te permettre de ne rien oublier et de calculer tes frais de bureau à domicile ainsi que ceux reliés à l’utilisation de ton véhicule. Tu peux le télécharger gratuitement ci-dessous, on est fines de même !

Fichier Excel icône

2022 – Impôts-Aide mémoire client.xlsx
Liste de documents et informations à fournir pour tes impôts.
Deux feuilles dans le même document.

J’espère que cet article t’a aidé, partage-le avec d’autres travailleur·se·s autonomes qui se demandent quels sont les documents à fournir pour leurs déclarations de revenus.

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Une explication sur les changements de notre image et la signification de la nouvelle direction. C’est à ça que sert cet article.

Tu y découvriras nos nouvelles couleurs, notre nouveau logo et ses variantes. Nous te présentons également nos valeurs et l’idée derrière le nom « ada ».

Bonne lecture !

Pourquoi vouloir renouveler notre image de marque ?

Tu te demandes probablement pourquoi nous avons décidé de changer l’image globale de l’Académie des Autonomes. Il est vrai que l’entreprise a seulement 1 an et demi, mais l’image n’est pas une question de durée de compagnie. C’est d’être en cohérence entre nos valeurs et ce qu’on dégage auprès de notre clientèle cible.

L’image précédente était très rigide, même froide alors que nous voulons que les échanges et le tout soit convivial, chaleureux et invitant. Il fallait aussi garder le côté fiabilité de l’information que nous fournissons. C’est donc le résultat d’échange avec l’agence AMA que nous avons créé cet équilibre entre l’aspect décontracté et sérieux.

Logo d’ada, l’académie des autonomes avant/après

Toute la réflexion autour du nouveau logo a également permis de repenser notre offre de services. Nous allons donc dans les prochains mois la simplifier en ne gardant que la boîte à outils et la revue. C’est avec ça en tête que le logo a été élaboré.

  • Le carré représente la boîte à outils.
  • Le a penché symbolise la volonté des travailleur·se·s autonomes de vouloir faire les choses différemment.

Tout ce dont tu as besoin pour te lancer et te développer est dans la boîte à outils, c’est pour ça qu’ada est dans le carré.

Principal

Ancien logo ada académie des autonomes inc soutien travailleurs autonomes
logo ada académie des Autonomes carré noir boite

Secondaires

Nouvelles couleurs pour la nouvelle image

Le choix des couleurs a également été un moment important. Nous aimions beaucoup le jaune que nous avions avec le premier logo. En revanche, il ne correspondait pas à la nouvelle dynamique et à la direction dans son ensemble de la nouvelle image. C’est donc avec un bleu et un jaune plus doux que nous avons finit. Ça donne un côté plus frais à l’ensemble.

  • Couleurs neutres : sobriété afin de montrer notre côté sérieux.
  • Couleurs primaires : d’inspiration Bauhaus, une variante de couleurs primaires plus dynamique et chaleureuse.
Couleurs nouvelle image ada académie des autonomes

Des valeurs plus claires et fortes !

De même que le changement du logo, la clarification de nos valeurs afin qu’elles résonnent plus au cœur de notre clientèle, toi, était important. Chaque valeur est représentée par une forme.

Rond bleu symbolisant la valeur de solidarité de ada l'Académie des Autonomes

Solidarité

ada est surtout une communauté, devenir travailleur·se autonome ne devrait pas être synonyme de se sentir seul·e.

Carré bleu symbolisant la valeur de fiabilité de ada l'Académie des Autonomes

Fiabilité

Nous te donnons l’information pour que tu puisses prendre tes propres décisions en fonction de ta réalité. Les sources sont fiables et diverses, tu as l’embarras du choix pour choisir ce qui te convient.

Escalier bleu symbolisant la valeur d'autonomie de ada l'Académie des Autonomes

Autonomie

Tu dois t’impliquer dans ta propre réussite. Aucune recette miracle ou réponse toute faite ne te sera donnée.

Fenêtre bleue symbolisant la valeur de liberté de ada l'Académie des Autonomes

Liberté

ada encourage un mode de vie autonome qui te permet une liberté personnelle et professionnelle.

Que veut dire ou signifie ada ?

ada c’est l’acronyme de l’Académie des Autonomes, c’est également une entité qui répond à tes questions. Elle grandit grâce aux échanges entre travailleur·se·s autonomes au sein de notre communauté.

Cette entité est sympathique, chaleureuse et a beaucoup d’humour. Elle aime les gens et se sentir utile en aidant les solopreneur·e·s avec leurs problématiques. ada est sociable et accueillante envers tout le monde.

Bienvenue chez ada !

ada signification et image travailleurs autonomes

Alors que penses-tu de notre nouvelle image ? Est-ce qu’elle te rejoint plus ? Et les valeurs d’ada sont-elles plus claires ? Dis-nous tout ça en commentaire, nous avons hâte de te lire.

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Partir à son compte, quitter un emploi stable pour l’inconnu dans lequel se retrouve un·e professionnel·le en affaires, c’est grisant et épeurant. Des dizaines de questions nous traversent l’esprit : Dois-je m’inscrire aux taxes ? Est-ce que j’ai besoin d’un site internet ? clicSÉQUR Entreprises ou Express ? etc.

Ce sont des questions tout à fait légitimes et ada va t’aider à y répondre. Autant dans le démarrage de tes activités de travailleur·se autonome que dans ton déploiement, on a toujours besoin de client·e·s. Tu es au bon endroit pour répondre à ce besoin récurrent.

Guide gratuit pour t’aider

Voici un guide qui te partage six stratégies afin de trouver des contrats comme travailleur·se autonome.
Tu pourras ainsi passer à l’action rapidement !
Bonus : tu as une liste de tâches à réaliser par stratégie à la fin !

Précise ton offre

Avant de dire au monde que tu existes, pose-toi tranquillement et réfléchis à ce que tu veux offrir, aux raisons pour lesquelles tu as décidé de te lancer comme travailleur·se autonome. Si tu sais ce que tu veux, ce que tu offres et ce que ça apporte à tes client·e·s alors tu as de plus grandes chances d’être clair. Le tri se fera donc naturellement auprès de ta clientèle cible et tu obtiendras des mandats plus en lien avec ce que tu recherches.

Pose-toi des questions

Afin d’amorcer la réflexion et la précision de ton offre, tu peux te poser les questions suivantes :

  • Pourquoi je me lance à mon compte ?
  • Quelles solutions je veux apporter à mes client·e·s ?
  • Quels types de projets/contrats feraient mon bonheur ?

Tu vois, pas besoin de te compliquer la vie. Ces trois questions très simples t’aideront à clarifier les choses dans ton esprit. Si tu as besoin d’aide, tu peux en trouver de différentes façons…

Va chercher de l’aide

Enlève
tes blocages

Tu sais que tu as certaines peurs qui t’empêchent de réaliser des choses et tu veux les faire évoluer ? Il est tout à fait possible de transformer tes croyances avec l’aide de Johanne Magloire, coach PNL (programmation neurolinguistique).

Clarifie
ton message

Tu voudrais t’assurer que ton discours est clair et limpide, mais tu ne sais pas comment faire ? Martin Ducharme pourra assurément t’aider à clarifier ton message. Il ramène les choses dans leur simplicité et droit au but.

Sois
accompagné·e

Tu as des questions très pratico-pratique pour lesquelles tu souhaiterais avoir des réponses ? Marie, la fondatrice d’ada, peut certainement t’aider. Avec une chaleureuse rencontre de 30 min. ou d’1h, elle te fera gagner un temps fou !

Utilise ton réseau

Les contacts que l’on se fait au court de sa vie sont importants. Le réseau de tisser une toile de soutien et de références. Souvent sous-estimé par les travailleur·se·s autonomes, ton réseau peut être très utile lorsque tu en as besoin. C’est une source d’information impressionnante !

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Les six degrés de séparation (aussi appelée théorie des six poignées de main) est une théorie établie par le Hongrois Frigyes Karinthy en 1929 qui évoque la possibilité que toute personne sur le globe peut être reliée à n’importe quelle autre, au travers d’une chaîne de relations individuelles comprenant au plus six maillons.

Wikipedia

Dis à ton réseau actuel que tu existes !

Il peut y avoir différentes façons d’obtenir des client·e·s et pas besoin de stratégies savantes ou compliquées… tu peux commencer par quelque chose de simple en utilisant ton réseau actuel. Tu te dis « Mais je n’ai pas un gros réseau ! », pourtant il est plus dense que tu ne le penses. Tu peux même accompagner ton message de tes réseaux sociaux, de ton site ou simplement de tes coordonnées au cas où iels auraient envie de bénéficier de tes services.

Si tu savais le nombre de personnes qui t’envie d’avoir eu le courage de faire ce que tu viens de faire, c’est fou !

Ancien·ne·s collègues

Tu te lances comme travailleur·se autonome et tout ton parcours te suit. Tes anciennes expériences et les personnes que tu as côtoyé t’accompagnent. Il serait donc très utile que tu les préviennes de cet important changement dans ta vie.

Voisin·e·s

Sauf si tu vis dans le bois au fin fond de la pampa, ton chemin croise certainement celui des autres personnes de ton quartier. Elles ont un potentiel incroyable de contact à créer et de contrats à aller chercher.

Ami·e·s / Famille

Tes proches peuvent être une bonne source de références surtout quand tu démarres comme travailleur·se autonome. Que ce soit ta famille ou tes ami·e·s, chaque personne a son propre réseau, ce qui fait que ça t’ouvre à un nombre insoupçonné de prospect·e·s.

Activités

Même les personnes de ton cours d’improvisation ou de ton club de lecture font possiblement partie de ta clientèle cible. Pourquoi te limiter ? Ces gens ont une vie active et rencontrent d’autres personnes, c’est une possibilité pas si illusoire que ça…


Rencontre atelier réseautage entre femmes professionnelles
© LinkedIn sales solutions

Agrandis ton réseau

Tu as aussi la possibilité d’agrandir ton réseau existant. Le moyen d’y parvenir c’est d’interagir avec d’autres humain·e·s. Il est possible de le faire de plusieurs façons :

  • Partager des publications sur tes réseaux sociaux
  • Commenter celles des autres
  • Connecter directement via les réseaux sociaux
  • Rencontrer lors d’événements de réseautage virtuels ou physiques

Le tout, c’est de t’intéresser réellement à l’autre personne en face. Un manque de sincérité se sentira à 6 897 kilomètres à la ronde (oui, c’est très précis). Tu perdras non seulement une connexion, mais tu enverras un message « Alerte » dans sa tête et ça risque de te nuire sur le long terme.

Sois dans l’action

Si tu attends que ça arrive, rien ne se passera. Le principal est d’être dans l’action ! Qu’est-ce que ça veut dire ? Ça veut dire d’être en mouvement, de prendre les devants, d’aller cogner aux portes (virtuellement ou physiquement), etc.

Se lancer comme travailleur·se autonome demande une certaine naïveté un peu folle. Comme dit Robert Half : « Si j’avais su je n’aurais jamais fait, si je n’avais pas fait je n’aurais jamais su. » Il est donc impensable d’apprendre et évoluer sans passer par l’expérience concrète du terrain.

La réflexion est bonne, l’action aussi ! La vie est pleine de surprises et les apprentissages sont permanents. Attendre d’avoir tout prêt avant de te lancer fera en sorte que tu ne lanceras probablement jamais. Tu auras à ajuster tes outils, ton offre et tes communications en fonction des retours de ta clientèle, même si tu pensais que c’était parfait. Voici un 15 min. intéressant sur le sujet avec Mélanie Holley.

Avant de partir…

Laisse-moi dormir… euh, non désolée ! (Source : Avant de partir – Roch Voisine)
As-tu pris ton guide gratuit ?

L’article Comment trouver des contrats est apparu en premier sur ada, académie des autonomes.

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Table des matières

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Un des grands défis des travailleur·euse·s autonomes est de se protéger adéquatement en cas d’invalidité, de maladie grave, de décès et d’autres frais médicaux. Faire le bon choix de protection peut être extrêmement complexe selon sa profession, son revenu et ses antécédents médicaux et non médicaux. 

On croit souvent qu’il n’existe que deux possibilités sur le marché pour les travailleur·euse·s salarié·e·s et autonomes, soit l’assurance personnelle et l’assurance collective offerte par un·e employeur·euse. On retrouve cependant beaucoup d’options entre ces deux extrêmes pouvant combler les besoins des travailleur·euse·s autonomes.

D’abord, démêlons l’assurance personnelle de l’assurance collective…

Femme travailleuse autonome devant un choix difficile Québec
© Burst

Quelle est la différence entre l’assurance personnelle et l’assurance collective ?

Assurance personnelle

L’assurance personnelle est la plus souple et est habituellement payée par l’assuré·e. Il est possible de choisir le montant de chacune des garanties (avec certains plafonds selon son revenu). Cependant, des preuves médicales complètes sont habituellement exigées (questionnaire médical complet, prélèvements d’urine et sanguin, mesure des signes vitaux, rapport de médecin traitant, etc.), et certaines personnes peuvent se voir refuser l’émission d’un contrat standard.

L’assuré·e pouvant se le permettre peut choisir un contrat garanti et non résiliable d’assurance invalidité dont la prime sera fixe pour toute la durée du contrat et dont les garanties ne pourront jamais être modifiées. Finalement, il n’est pas possible de remplacer l’assurance médicaments de la RAMQ par une assurance personnelle : si tu n’as pas accès à une assurance collective toi-même ou par un·e conjoint·e, tu devras donc souscrire à l’assurance médicaments de la RAMQ.

Assurance collective

L’assurance collective offerte par un·e employeur·euse comporte, lorsqu’on y a accès, plusieurs avantages : elle remplace l’assurance médicaments de la RAMQ, l’employeur·euse paye habituellement une partie de la prime (ce qui réduit les coûts pour l’assuré·e) et, surtout, tou·te·s les employé·e·s y sont admissibles, peu importe leur état de santé. L’adhésion est obligatoire, au moins pour l’assurance médicaments de la RAMQ, à moins qu’on ait accès à une autre assurance collective d’un·e conjoint·e et qu’on y adhère.

Ce n’est pas toujours une panacée : selon les garanties choisies par l’employeur·euse, tu pourrais être insuffisamment couvert·e pour certaines garanties. Ainsi, je demande à chacun·e de mes client·e·s ayant accès à une assurance collective de voir le livret d’assurance complet afin d’établir un diagnostic fiable de leurs protections globales.

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Quelles sont les autres options à l’assurance collective pour les solopreneur·e·s ?

La ou le travailleur·euse autonome n’a pas, par définition, accès à une assurance collective offerte par un·e employeur·euse. Il existe cependant d’autres options :

1. Avant de quitter son emploi

En quittant un emploi salarié avant de devenir solopreneur·e, d’abord vérifier s’il est possible de transformer certaines garanties (assurance vie) ou d’en conserver d’autres (assurance maladie complémentaire sans médicaments). Le tout doit habituellement se faire en respectant certains délais. Il existe même des assureurs (Manuvie) qui peuvent offrir de l’assurance maladie complémentaire sans preuve médicale aux travailleur·euse·s ayant quitté un emploi comportant une assurance collective offerte par un autre assureur si ceux-ci en font la demande dans les 90 jours suivant la fin de leur contrat.

2. Celle du ou de la conjoint·e

S’inscrire aux assurances collectives d’un·e conjoint·e. C’est obligatoire, au moins pour la portion de l’assurance médicaments. Habituellement, quand mes client·e·s ont accès à l’assurance collective d’un·e conjoint·e, je leur recommande de prendre les protections disponibles. Celles-ci ne comprennent jamais l’assurance invalidité, qui n’est offerte qu’à l’employé·e : la ou le conjoint·e travailleur·euse autonome devra donc se couvrir individuellement.

3. La RAMQ

Si la ou le travailleur·euse autonome n’a pas accès à une assurance collective par sa ou son conjoint·e, il devra obligatoirement s’inscrire à l’assurance médicaments de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ).

4. L’assurance emploi

Il est possible pour la ou le travailleur·euse autonome de s’inscrire à l’assurance-emploi. Les garanties offertes ne seront pas les mêmes que pour un·e employé·e, mais la ou le travailleur·euse autonome aura quand même accès aux prestations en cas de maladie (55% du salaire, salaire plafonné à 60 300$, prestations pendant quatre mois). Il faut avoir cotisé pendant au moins un an pour avoir droit aux prestations. Je l’ai recommandé à certain·e·s client·e·s, dont une qui était en attente pour une chirurgie qui aura lieu dans plus d’un an : il aurait autrement été impossible de la couvrir pour une situation préexistante.

5. Les ordres professionnels

Certain·e·s travailleur·euse·s autonomes font partie d’ordres ou d’associations offrant une assurance collective obligatoire. C’est le cas, par exemple, des membres de l’Ordre des psychologues du Québec. Ici, cette assurance collective classique remplace l’assurance médicaments de la RAMQ. Cependant, pour ce type d’assurance, les montants couverts en cas d’invalidité sont souvent inférieurs aux revenus réels des professionnel·le·s assuré·e·s. Je dois donc les protéger au moyen d’une assurance salaire individuelle complémentaire.

6. Les assurances d’associations

D’autres assurances d’associations sont à adhésion facultative. Dans ce cas, elles ne remplacent pas l’assurance médicaments de la RAMQ. Les avantages sont multiples : accès à des protections complètes nécessitant des preuves médicales restreintes (souvent un simple questionnaire), garanties complémentaires exclusives, rabais de regroupement, etc. Ces plans peuvent être offerts sous forme de contrats individuels ou collectifs.

CTTAQ

Contrairement à d’autres associations qui ne s’adressent qu’à certains corps de métier, la CTTAQ (Coalition des travailleuses et des travailleurs autonomes du Québec) regroupe des travailleur·euse·s autonomes de tous les domaines. Sa mission est de faire valoir les droits de ceux-ci auprès des différents paliers gouvernementaux.

L’adhésion est gratuite et elle permet d’avoir accès au Plan-Association de la Croix-Bleue du Québec. Il est possible de la combiner, dans le cadre d’un contrat individuel, avec de l’assurance invalidité, vie, frais généraux, maladie complémentaire sans médicaments et dentaire.

Elle offre aussi un service de télémédecine (très pratique!), un programme d’assistance (juridique et autres), une série de réductions Avantages Bleu (auprès de différents fournisseurs de soins de santé et de bien-être) et des soins à domicile de base.

L’énorme avantage est qu’on peut y avoir accès en répondant simplement à quelques questions sur sa santé! J’ai pu ainsi protéger plusieurs client·e·s qui n’auraient autrement pas été admissibles à une assurance personnelle classique!

Proteck

Plan de l’Association de services aux entreprises Proteck : cette assurance collective à adhésion non obligatoire (qui ne remplace donc pas l’assurance médicaments de la RAMQ) est offerte à tout·e travailleur·euse canadien·ne travaillant au moins 20 heures par semaine.

L’adhésion à l’association est de 8$ par mois, mais est comprise dans la prime d’assurance.

Plusieurs garanties sont offertes sans questions sur la santé (assurance en cas d’invalidité accidentelle, frais généraux en cas d’accident, assurance vie, assurance maladies graves 40 maladies), alors qu’il faut fournir quelques renseignements médicaux pour être protégé en cas d’invalidité et de frais généraux accident et maladie.

En plus des protections d’assurance, des services sont compris pour tout·e adhérent·e, dont l’aide juridique et l’aide en cas de réclamation. Les garanties d’assurance de Proteck sont offertes par deux assureurs d’ici, soit la SSQ et Humania. Ce plan permet donc, lui aussi, à des travailleur·euse·s ayant quelques ennuis de santé d’être protégé·e·s à bon coût!

7. Individuellement

Se protéger de façon individuelle. Quand c’est possible, c’est ici qu’on retrouvera les meilleures garanties. Il faut cependant s’informer si notre métier ou notre appartenance à un regroupement nous donne droit à des réductions auprès des assureurs! On retrouve surtout ces dernières (habituellement de 15% à 20% sur la prime globale) auprès des assureurs offrant des assurances invalidité garanties et non résiliables, tels que Manuvie, Canada Vie et RBC.

Assurances personnelles au Québec pour travailleurs et travailleuses autonomes solopreneur dans son appartement salon
© Grant

Revenu assurable et frais fixes

Dernier détail : le revenu assurable peut parfois être assez bas lorsqu’on débute comme travailleur·euse autonome. Les assureurs vont alors considérer le revenu après dépenses, avant impôt. Étant donné qu’on peut avoir beaucoup de dépenses, surtout les premières années, il est possible de couvrir ses frais fixes (aussi appelés frais généraux) autant personnels que professionnels.

Les frais fixes comprennent habituellement les dépenses qui demeureraient même si tu cesses de travailler quelque temps lors d’une invalidité. Par exemple :

  • Le loyer
  • Les versements de prêts
  • Le téléphone
  • L’Internet
  • Les assurances professionnelles
  • Les frais de garderie
  • Etc.

Note : si tu assures tes frais fixes personnels, ta prime d’assurance ne sera pas déductible comme dépense d’affaires. En revanche, ta prime d’assurance pourra être déduite comme dépense professionnelle si elle couvre tes frais fixes d’entreprise.

Spécialiste invitée

Portrait photo Anny Vaillancourt conseillère en services financiers Le Groupe financier du Boisé Repentigny Québec
© Média Cliché – Louise Cornelissen

J’espère avoir pu t’éclairer sur les options d’assurance personnelles et collectives offertes aux travailleur·euse·s autonomes. N’hésite pas à me contacter si tu as des questions ou pour obtenir de l’information supplémentaire!

Anny Vaillancourt
Conseillère en sécurité financière

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Que nos relations professionnelles se passent bien dépend en partie de nous. J’adore remercier mes collaborations pour le travail fait ensemble durant l’année. Je le fais avec des cartes cadeaux auprès de commerces du Québec accompagné d’un mot écrit à la main et personnalisé en fonction de nos échanges sur une belle carte de Crystal Smith achetée sur la boutique de la Fondation David Suzuki.

C’est gagnant pour tout le monde. J’entretiens ma relation avec ces personnes, j’encourage les entreprises locales et je fais plaisir !

Tu te demandes peut-être si tu dois, ou pas, offrir des cadeaux aux personnes avec qui tu collabores ou à tes client·e·s les plus fidèles. Quel est l’intérêt de dépenser de l’argent puisque je travaille déjà avec ces personnes ? Si tu tiens vraiment à en offrir, quoi choisir ? Où trouver des cadeaux ? 

Tu trouveras dans cet article de quoi nourrir ta réflexion et des idées pour avoir des cadeaux sympathiques tout en encourageant des entreprises du Québec.

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